Et le film, l'experience du film, c'est ça, ça n'est pas à moi, non seulement ce n'est pas moi, mais ça n'est pas à moi et je ne peux pas posséder ça, je ne le veux pas et je ne le dois pas. Et je crois que cela a un rapport avec ce qui est dit de la coupure, de la circoncision, du sublime, etc., c'est que le plus proper ne laisse pas réapproprier. C'est ce que j'appelle quelque part l'<exappropriation>, c'est que l'appropriation est une expropriation. ('Trace et archivem image et art', Derrida)